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Manifestation à Marseille le 2 octobre 2025


Dans le cadre du préavis de grève des agents de catégorie C pour la revalorisation de l'IFSE, nous serons reçus par la Direction ce mercredi 8 octobre. La CGT donne rendez-vous au local syndical de l'Hôtel du Département à 15h10. N'hésitez-pas à demander vos autorisations d'absence syndicale ("bons verts") !

Les agents de catégories C mobilisés avec la CGT revendiquent 110 euros d’augmentation par mois pour toutes et tous !

Préavis de grève déposé pour le 9 octobre 2025

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Le progrès social, seule issue à la crise !

Le premier ministre Sébastien Lecornu a annoncé ce lundi sa démission 27 jours seulement après sa nomination, avant même d’avoir prononcé son discours de politique générale et présenté son budget. Depuis sa nomination, les travailleurs et les travailleuses se sont mobilisés à trois reprises pour dénoncer la violence du budget en préparation et exiger des réponses sociales, écrivant ainsi une rentrée sociale inédite.

Au lieu de revoir sa copie, de renoncer aux reculs sociaux, au lieu de mettre en place la justice fiscale et d’abroger la réforme des retraites, Sébastien Lecornu a préféré maintenir le budget et le gouvernement de son prédécesseur. Il n'a pas eu le courage d'affronter les grands patrons et les plus riches et de rompre avec la politique de l'offre d'Emmanuel Macron. 

 

Il est donc le 5ème Premier ministre en 2 ans à être contraint à la démission du fait de la violence sociale de sa politique.

 

Encore une fois, au lieu de changer de politique le président de la République fait le choix du chaos institutionnel. Il prend le risque de transformer une crise sociale et démocratique en crise de régime.  Le Medef, quant à lui, en multipliant les gesticulations pour empêcher toute justice fiscale et sociale, porte une lourde responsabilité. Cette décision est d'autant plus grave dans un contexte de tensions géopolitiques majeures, alors que l'extrême droite représente un danger central pour les démocraties, les libertés et les droits sociaux en France et dans le monde.

 

Comme la CGT le martèle : il n'y aura pas de stabilité sans justice sociale.

Face à l'irresponsabilité du président de la République, du gouvernement et de leurs alliés patronaux, la CGT appelle au rassemblement des forces de progrès social pour barrer la route à l’extrême droite et gagner enfin la réponse aux urgences sociales et environnementales :

  • Mettre en place la justice fiscale
  • Débloquer les moyens nécessaires pour nos services publics et pour la transformation environnementale
  • Abroger la réforme des retraites
  • Augmenter les salaires, les pensions et les minima sociaux
  • Arrêter les licenciements, réindustrialiser et décarboner le pays 

DGAS : les agents réunis en assemblée générale le 16 septembre déclarent l'action sociale en danger !

Qu'ils soient issus de l'aide sociale à l'enfance, de la prévention sociale, de la PMI ou de la DPHPBA, le constat commun posé le 16 septembre est sans appel… Les conditions de travail, le service rendu aux usagers, la prise en compte des situations des plus vulnérables, celles des adultes, des enfants, comme celles des personnes âgées connaissent une dégradation importante

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La dette publique en 10 questions

La dette publique est trop élevée, la France est-elle au bord de la faillite ? Pour atteindre le déficit public visé en 2026, l’ex Premier ministre avait annoncé que les économies devraient être de 43,8 milliards d’euros. Gel des prestations sociales et des salaires des agents de la fonction publique, désindexation des pensions de retraites, suppression de deux jours fériés, réforme de l’AME et doublement des franchises médicales : pour imposer son plan d’austérité, l’ex Premier ministre cherchait depuis à dramatiser la situation des finances publiques françaises.Ce discours masque des choix politiques qui servent à justifier l’austérité. Dans le document ci-contre, la CGT démonte dix contre-vérités sur la dette, chiffres à l’appui. 



Pétition Sénat

Pour une juste fiscalité de l’électricité et du gaz - Soutien de la proposition de loi n°768 pour un taux réduit de TVA sur l’énergie

Jusqu’au 1er août 2025, la France appliquait une TVA réduite à 5,5 % sur la part fixe de l’abonnement et une TVA à 20 % sur la consommation, pour les factures d’électricité et de gaz.

Sous prétexte d’uniformisation, la loi de finances pour 2025 a validé, au 1er août 2025, la suppression du taux réduit de TVA à 5,5 % sur l’abonnement des factures d’électricité et de gaz.

En parallèle, en juillet dernier, le groupe CRCE au Sénat a porté une proposition de loi coconstruite avec la FNME-CGT, visant à baisser la TVA à 5,5 % sur l’abonnement, la consommation et les taxes (proposition de loi accessible ici : https://www.senat.fr/leg/ppl24-768.pdf).

La présente pétition vise donc à soutenir cette proposition de loi qui a pour objectif d’abaisser la TVA à 5,5 % sur l’ensemble de la facture d'électricité et de gaz.