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Agents titulaires, stagiaires, contractuels et vacataires
du Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône
LA CGT FONCTION PUBLIQUE a été reçue le lundi 21 juillet dernier par le ministre de l’Action publique, de la Fonction publique et de la Simplification. Osant comparer la France à la Grèce, le ministre s’inscrit dans la mise en œuvre de la purge budgétaire annoncée par le Premier ministre
La FNME-CGT (Fédération nationale des mines et de l'énergie) dénonce un «racket organisé» et soutient la proposition de loi du sénateur Fabien Gay (PCF 93) pour annuler cette hausse. En février dernier, la loi de finances 2025 est actée avec une disposition prévoyant d'augmenter le taux de TVA sur l'ensemble des composantes de la facture d'énergie, y compris l'abonnement et les produits commerciaux. Le taux passerait de 5,5 % à 20 % dès le 1er août.
Arrêt du travail dès que l’environnement de travail atteint une température supérieure ou égale à : 28 °C pour les travaux physiques / 30 °C pour les travaux sédentaires.
Avec ses annonces, le Premier ministre vient d’ouvrir un chantier aussi brutal qu’idéologique. Ce n’est pas un plan d’économies, c’est une déclaration de guerre aux droits des travailleuses et des travailleurs. Au lieu d’ouvrir les yeux sur les urgences sociales – salaires, conditions de travail, santé, éducation, climat – le gouvernement choisit de faire payer une nouvelle fois les travailleurs, notamment les privés d’emploi, et stigmatise les agents du service public.
La CGT a ouvert ce CST par une déclarationui a porté sur la défense des services publics, notre régime de retraite, la mise en œuvre de la baisse de 10% du taux de remplacement de rémunération pendant les arrêts maladie .
À l’ordre du jour de cette rencontre, la section syndicale CGT-Environnement a souhaité mettre en exergue les problématiques rencontrées par les forestiers-sapeurs. Ainsi, 4 sujets ont pu faire l’objet d’un échange constructif.
Une AG s'est tenue le mardi 10 juin portant à son ordre du jour la question de la publication des postes vacants, la précarisation des collègues en contrat de projet, vacataires, renforts, le travail en cours sur les projets de MDS et la sectorisation...
RN aux portes du pouvoir, répression violente des mouvements populaires, politiques racistes et anti-immigrés, offensive réactionnaire contre les droits des femmes et des minorités, diabolisation de la gauche d'émancipation, omniprésence de l'extrême droite et de ses obsessions dans les médias, complicités actives des appareils "républicains", de droite comme de gauche, islamophobie généralisée, etc. L'énumération signale une dynamique mortifère que le règne de Macron a largement amplifiée et qu'il nous faut affronter. Plusieurs questions nous taraudent : de quoi ces symptômes morbides sont-ils le nom ? Comment en sommes-nous arrivés là ? Et comment conjurer le désastre annoncé ?
Ugo Palheta avance l'hypothèse que nous vivons la renaissance – sous de nouvelles formes – du fascisme, conçu comme une potentialité inhérente au capitalisme. Refusant le morcellement académique des approches, il se propose d'articuler l'analyse par en haut du champ politique et l'étude par en bas des électeurs d'extrême droite, de penser ensemble les politiques néolibérales et le racisme systémique, de prendre au sérieux aussi bien la montée de l'autoritarisme d'État que la progression électorale du RN, tout en avançant quelques pistes pour vaincre ce dernier.
Référendum pour les retraites |
La CGT publie le résultat d'un sondage démontrant que 68 % des Français se déclarent favorables à un référendum sur les retraites. La Confédération prend ainsi au mot Emmanuel Macron. Lors de ses vœux, le chef de l’État disait vouloir la tenue d’un référendum, courant 2025. Selon l’étude commandée à l’IFOP, si un tel scrutin était organisé, 65% des Français voteraient en faveur d’une abrogation de la réforme qui a instauré l’âge légal de la retraite à 64 ans, dont 73 % des salariés. Plus largement, 61% des Français estiment qu’il faudrait revenir à un âge de départ à 62 ans et 56 % sont favorables à un retour à 60 ans, rejoignant ainsi la position de la CGT.
Sondage IFOP pour la CGT auprès d'un échantillon de 2023 personnes représentatif de la population résidant en France métropolitaine âgée de 18 ans et plus.
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